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« Electrode oesophagienne » : différence entre les versions

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Le taux de succès est très intéressant pour les flutters post-opératoires, avec plus de 90% de réussite.
Le taux de succès est très intéressant pour les flutters post-opératoires, avec plus de 90% de réussite.
Pour les flutters communs, ce taux est de 75%<ref>[1] Du Cailac C. et Al. Flutter auriculaire après chirurgie cardiothoracique. Traitement par stimulation auriculaire par voie œsophagienne. Presse Med 1984; 13: pp. 2193-2196.</ref>
Pour les flutters communs, ce taux est de 75%<ref>[1] Du Cailac C. et Al. Flutter auriculaire après chirurgie cardiothoracique. Traitement par stimulation auriculaire par voie œsophagienne. Presse Med 1984; 13: pp. 2193-2196.</ref>[[Fichier:Réduction d'un flutter atrial par Overdrive au moyen d'une sonde oesophagienne.png|vignette|612x612px|centré]]
 
[[Fichier:Déclenchement d'une TRIN par extrastimulus atrial.png|vignette|521x521px|centré]]
Cette technique a également été développée dans le cadre du diagnostic étiologique d'une tachycardie supra-ventriculaire notamment chez l'enfant ou les manœuvres endocavitaires ne sont pas systématiques<ref>Benson D.W., Dunnigan A., Benditt D.G., Pritzker M.E., Thompson T.R.: Transesophageal study of infant supraventricular tachycardia. Electrophysiologic characteristics. Am J Cardiol 1983; 52: pp. 1002-1006</ref>.
Cette technique a également été développée dans le cadre du diagnostic étiologique d'une tachycardie supra-ventriculaire notamment chez l'enfant ou les manœuvres endocavitaires ne sont pas systématiques<ref>Benson D.W., Dunnigan A., Benditt D.G., Pritzker M.E., Thompson T.R.: Transesophageal study of infant supraventricular tachycardia. Electrophysiologic characteristics. Am J Cardiol 1983; 52: pp. 1002-1006</ref>.


Il est possible également d’utiliser cette technique pour le déclenchement d'une tachycardie supraventriculaire chez un patient présentant des symptômes évoquant une tachycardie jonctionnelle, chez qui aucun tracé per critique n’est disponible. Dans une série Nancéien, il a été possible de déclencher une TJ par réentrée intra nodale dans plus de 70% des cas<ref>Brembilla-Perrot B., Spatz F., Khaldi E., Terrier de la Chaise A., Le Van D., Pernot C.: Value of esophageal pacing in evaluation of supraventricular tachycardia. Am J Cardiol 1990; 65: pp. 322-330.</ref>.
Il est possible également d’utiliser cette technique pour le déclenchement d'une tachycardie supraventriculaire chez un patient présentant des symptômes évoquant une tachycardie jonctionnelle, chez qui aucun tracé per critique n’est disponible. Dans une série Nancéien, il a été possible de déclencher une TJ par réentrée intra nodale dans plus de 70% des cas<ref>Brembilla-Perrot B., Spatz F., Khaldi E., Terrier de la Chaise A., Le Van D., Pernot C.: Value of esophageal pacing in evaluation of supraventricular tachycardia. Am J Cardiol 1990; 65: pp. 322-330.</ref>.
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[[Fichier:Déclenchement d'une TRIN par extrastimulus atrial.png|vignette|521x521px|centré]]




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